Pathé Marcony
Pendant que les médias annoncent un soit disant « Tous contre Lurel » de la part des partis politiques, eux-mêmes pratiquent quelque chose qui ressemble à un presque « Tous pour ignorer Lesueur ».
Rappelons d’abord que le service public de RFO utilise la redevance pour faire l’apologie de Toto à la télé, pendant que les Indépendantistes qui ont pris le pouvoir à la radio font la course pour la liste UPLG de Jalton. La « candidature de moi-même » n’est toujours pas annoncée. Le CSA est clair. Toutes les candidatures doivent être annoncée par les médias audiovisuels. RFO aura donc à rendre des comptes. France Antilles vient de franchir le « mûr du çon » pour plagier le Canard enchaîné. Il a publié aujourd’hui une liste de neuf candidats potentiels. On a beau lire entre les lignes, on ne voit pas la candidature qui gêne. On ne voit que les centaines de milliers d’euros que Lurel a versés à France Antilles, et continue de verser en achetant des pages de publicité à 10 000 euros. Cela dit France Antilles n’est pas vraiment considéré comme un organe de presse. Tout juste un support du colonialisme finissant qui est une sorte de publicité pour l’illettrisme. C’est un journal qu’il vaut mieux savoir ne pas lire. Quant à ceux qui y exercent la fonction de journaliste, j’imagine que dans leur contrat, ils doivent renoncer à certains principes de ce métier pour travailler dans ce journal. Et en période électorale, ils montrent qu’ils ont pris des cours dans une auto école de censure, pour bien pratiquer à l’auto censure. Les journalistes de France Antilles ne savent pas que je suis candidat. Ils n’écoutent pas la radio, ne regardent pas la télévision, ne lisent pas d’autres journaux. A mon avis, en vue des élections régionales, on les a envoyés en stage dans une boite qui a aujourd’hui disparu. C’est la société Pathé Marcony qui produisait des pick-up, et avant déjà des phonographes. Pour les plus jeunes, c’était un Ipod à manivelle. L’emblème de la marque, c’était une image et un slogan. L’image était celle d’un petit chien la tête dans le cornet du phonographe. Le slogan lui, est parfait pour tous ceux qui font le sale métier de propagande électorale partisane éhontée avec l’argent du contribuable, au mépris de toute déontologie et même de toute honnêteté, c’est « La voix de son maître ». L’esclavage ne sera jamais aboli, tant qu’il y aura des gens qui naissent libres et égaux, et d’autres qui naissent libres et ilotes. Il ne sera pas aboli tant qu’il y aura des journaux pour développer l’illettrisme civique.